Le parcours a été conçu de manière à favoriser des expériences conviviales permettant le partage et l'inter-apprentissage (écrans in situ de taille suffisante pour une consultation à 2-3), avec plusieurs niveaux de lecture et plusieurs niveaux de consultation (manipulation, spectateur, etc.). Les textes respectent au maximum les bonnes pratiques éditoriales : des phrases simples, courtes, avec du vocabulaire familier et concret, des constructions simples (forme active, limitation du substantif, etc.) et la création d’un lexique disponible sur toutes les bornes interactives.
La conception des multimédia a respecté les bonnes pratiques : développement d’interfaces simples qui limitent le temps consacré à l’apprentissage de l’outil via une arborescence des contenus "plates", la possibilité de revenir à l’accueil à tout moment, et des "instructions" animées textes + images simples lorsque nécessaire. Une attention particulière a été apportée pour concevoir une charte ergonomique et graphique homogène dans tout le musée.
10 cartels en braille et gros caractères, dessin en relief et volume ont été conçus tout au long du parcours sur les principales thématiques, apportant une lecture simplifiée et graphique des thématiques (voir ci-dessus handicap visuel).
Des objets à toucher et des manipulations rendant le visiteur acteur de son expérience (pantographe, frappe au marteau, frappe au balancier) permette d'expliquer étape par étape les processus et mécanismes de fabrication des monnaies, médailles, décorations et fontes d'art.
Enfin, les vidéos didactiques ou historiques ont un player permettant à tout moment de faire pause dans la vidéo pour apporter un complément d'information ou revenir en arrière.