Talk & Performances

Par Alison Knowles, les visiteurs sont invités à apporter et disposer des objets de couleur rouge afin de réaliser une composition monochrome pour Homage to Each Red Thing.

Gloria Friedmann mono-dialogue face au gorille Congo, questionnant les origines de l’homme et de l’art. L’artiste associe à la performance Play-Back d’Eden, la distribution de Painting by Congo, male gorilla (1962) et Drawing by Pooh, female gorilla (1964).

Avec Christian Boltanski, Etel Adnan, Julie Boukobza, Kerstin Brätsch & Sarah Ortmeyer,  Arnaud Esquerre, Simone Fattal, Hans-Peter Feldmann, Gloria Friedmann, Felix Gaudlitz & Alexander Nussbaumer, Gilbert & George, Christine Hill, Carsten Höller, Fabrice Hyber, Koo Jeong-A, Alison Knowles, Bertrand Lavier et le maire de Bourg Lastic, Charlie Malgat, Patrice Maniglier, Angelika Markul, Otobong Nkanga, Roman Ondák, Chiara Parisi, Eugénie Paultre, Julia Peyton-Jones, Sean Raspet, Daniel Spoerri, Franco Vaccari, Agnès Varda…

Lecture exceptionnelle de David Desrimais des extraits de l’ouvrage Search de Douglas Coupland ; diffusion des cartes avec dessins et poèmes de Etel Adnan et Daniel Spoerri met les visiteurs en appétit avec la distribution de ses Emincés d’Euro et de ses sculptures en pâte à sucre de l’amulette phallique de Pompéi.

Sur une table mouvante construite tout autour de son corps, Otobong Nkanga dispose des pierres précieuses et des plantes épiphytes, comme autant de matières à créer un dialogue avec les visiteurs.

Distribution des modes d'emploi des POF (Prototypes d’Objets en Fonctionnement) de Fabrice Hyber avec la participation des Compagnons du Devoir.

Le jeu du bonneteau passe des ponts de Paris dans l’escalier d’honneur de la Monnaie de Paris. Avec Sleight of Hand, Roman Ondák et ses complices détournent ce jeu pour créer une interaction physique et mentale avec les visiteurs.

Ce sont des centaines d’œufs peints par Kerstin Brätsch & Sarah Ortmeyer qui font face aux visiteurs. Ces derniers peuvent ramasser les créations tombées dans l’escalier XVIIIème siècle de la Monnaie de Paris.

Au centre du Salon Dupré, une jeune femme vêtue d'une longue robe noire distribue silencieusement à chaque spectateur l'approchant un petit confetti rose portant l’inscription "Be Quiet". Il s’agit de la mythique performance conçue par James Lee Byars en 1976.

Sean Raspet s’adresse au goût et à l’odorat des visiteurs à travers la boisson « Soylent » qui a la caractéristique de contenir tous les nutriments nécessaires d'un repas, posant ainsi un regard sur un futur où la nutrition de tous serait contenue dans une cannette. Une odeur de vielles pièces de monnaie est aussi diffusée dans les salles.

Koo Jeong-A propose de se munir de l’application mobile de la Monnaie de Paris, et de partir en promenade avec un chien en suivant l’un des sept parcours qu’elle a dessinés sur la Seine comme dans le quartier Saint Germain.

De façon complètement exceptionnelle, Yona Friedman propose à une vingtaine de visiteurs de s’installer à sa table et de créer avec lui ses mythiques maquettes de villes d’utopies réalisables. Réservation : mathieu.pitkevicht@monnaiedeparis.fr

Par Alison Knowles, les visiteurs sont invités à apporter et disposer des objets de couleur rouge afin de réaliser une composition monochrome pour Homage to Each Red Thing.

Trois concerts organisés par Federico Nicolao, avec Joaquim Brissaud, Maï Ito Delhomme et Charli Tapp, des promenades dans l’exposition, des concerts de noise, des lectures de poèmes sont conçus en résonnance avec une sélection d’œuvres présentées dans l’exposition.

L’écrivain Federico Nicolao développe, aussi, une chronique quotidienne sur Instagram sous le nom de Kikerikidide en hommage aux écrits de Hans Ulrich Obrist. Des textes théoriques et des images inventent un récit tout au long de la période de l’exposition.

Pour l’atelier de Takako Saito, des cubes en papier sont déversés sur des casques portés par les visiteurs… il s’agit de l’action fluxus que l’artiste japonaise utilise pour créer avec le public une pièce musicale.

Charlie Malgat (89plus) invite le public à revisiter Take Me (I’m Yours), avec des casques de réalité virtuelle au travers de ses trois vidéos réalisées à 360 degrés dans les espaces téléchargeables sur l’application mobile de la Monnaie de Paris.

Tirage au sort pour le dîner avec Douglas Gordon, avec la présence exceptionnelle de Dominique Gonzalez-Foerster et d’un huissier.

Dès les premiers jours de l’exposition, Etel Adnan ouvrait ce cycle de rencontres Take Me (I’m Yours) en invitant Gabrielle Althen, Vincent Broqua et Eugénie Paultre à lire leurs poèmes. Etel Adnan donne d’autres rendez-vous, le 13 novembre avec Hanna Schygullan Pauline Behr, Sophie Bourel, Vincent Broqua, Alicia Bustamante et Lionel Jung Allégret. Puis le 13 décembre, de 13h à 19h, pour une lecture complète du Paradis de La Divine Comédie. En janvier, c’est à une discussion autour du travail de l’écriture qu’Etel Adnan nous invite, avec la présence de différents poètes.
Les lectures sont accompagnées de la distribution aux visiteurs de cartes dessinées et écrites par Etel Adnan dans les salles d’exposition ainsi qu’à l’extérieur de la Monnaie de Paris, le long du quai de Conti.